Nos membres actifs

NOS MEMBRES ACTIFS

Rencontrez sur cette page les membres actifs du musée en découvrant leur galerie photo et en cliquant sur leur nom pour lire leur biographie.

 

MICHEL DOYON

« Je pratique la photographie depuis mon tout jeune âge. J’ai acheté mon premier appareil photo à 18 ans. J’ai toujours fait de la photographie pour le plaisir. Cependant, depuis que je suis à la retraite, la photographie fait partie de ma vie. Je suis membre de clubs photo dont le Club Photo Drummond dont s’assume la présidence depuis la saison 2014-2015. Par ailleurs, je suis membre artiste de la Coop de solidarité artistique de la MRC de Drummond, AXART. J’ai mérité le titre de photographe de l’année 2013-2014 au Club Photo Sherbrooke. Je suis diplômé de l’Institut de la photographie. De plus, j’ai suivi plusieurs formations et ateliers organisés des professionnels. Les formations ont été suivies auprès du Collège Marsan, la Photographie tous azimuts, le Collège Gosselin et les ateliers Lozeau. Les ateliers privés ont été suivi auprès de photographes professionnels dont Michel Fyen-Gagnon, Daniel Dupont. Je donne également des ateliers et des conférences notamment au Club Photo Drummond. »

 

FRANCIS LACHAINE

L’humour absurde moderne m’influence dans ma quête de mettre en image des idées qui sortent de l’ordinaire. Mon style est notamment inspiré du photographe poète surréaliste espagnol Chema Madoz. Les Photos que je présente sont, pour moi, des courts métrages qui ne durent qu’une image ou un photogramme, comme dans le monde de l’animation. C’est probablement mon expérience de Cinéaste qui me donne cette vision! J’accorde beaucoup d’importance à la retouche d’images. Au fil des années, j’ai développé un protocole de postproduction rigoureux qui combine photomontage et optimisation de la netteté de l’image. Mon objectif principal est de continuer à susciter la surprise et la réflexion par des mises en scène inédites, basées sur un réservoir d’idées continuellement renouvelées! 

Depuis 2016, mes photos ont été présentées dans des expositions d’envergure à Montréal:  sélection au concours international d’arts visuels Juste pour rire 2016 à la place des arts de Montréal, gagnant du concours photo «Faites rayonner le transport collectif et l’innovation de Montréal» ; ma photo a représenté l’Agence métropolitaine de transport (maintenant Exo – Réseau de transport métropolitain) lors du sommet mondial des transport publics de l’union internationale des transports publics (UITP), qui a lieu au palais des congrès de Montréal du 15 au 17 mai 2017. Deux de mes œuvres ont aussi été sélectionnées dans le cadre des 38e et 39e éditions du concours photo «Montréal à l’œil» ayant eu lieu dans le hall d’honneur de l’hôtel de ville de Montréal en avril 2017 et 2018. 

 

CONSTANCE LAMOUREUX

Constance Lamoureux est une artiste autodidacte qui possède un sens naturel de son art. 

Pour elle, la photographie répond très bien à sa quête d’aventure et de découverte. 

Tous ses sens sont en éveil et reliés au plaisir tant à la recherche de sujets, qu’à la prise de vue ou la post-production. Il se dégage de ses œuvres une émotion et une douceur qui nous font voir une expositions artistique personnelle. Elle a présenté ses travaux au Québec et à l’international dans le cadre de publications et d’expositions individuelles et collectives. 

 

FRANCE PELLETIER

Mon intérêt pour la photographie a débuté il y a environ 25 ans, suite à mon amour pour les oiseaux. Je voulais un souvenir de mes observation. 

Par la suite mes photographies d’oiseaux m’ont fait découvrir toute la richesse de la nature ainsi que la beauté de tout les animaux. 

une phrase de voltaire traduit très bien  ma présente recherche:

Tout le monde regarde ce que je regarde; personne ne voit ce que je vois. 

France Pelletier 

 

ALAIN POULIN

Autodidacte, j’aime apprendre de nouvelles choses. J’adore l’art de la photographie sous toutes ses formes, celle qui m’attire le plus et pour laquelle j’ai un amour inconditionnel c’est : La Photo Documentaire (paysages et animaux dans leur milieu naturel et architecture rural historique). Lorsque je capte une image, j’utilise la lumière qui m’entoure pour être en mesure par la suite de faire ressortir toute la beauté de mon sujet.

Lors de mes safaris-Photos, je prends le temps de me laisser imprégner par tout ce qui m’entoure (le vent, l’odeur de l’air, la beauté du paysage), il est important, pour moi, d’atteindre un état d’esprit zen. Lorsque je me sens en paix et heureux, je commence à ce moment précis, toute la magie opère.

«La vie nous entoure de beautés, il ne nous reste qu’à prendre de beau cliché»

Alain Poulin 

«La photo est une fenêtre ouverte sur notre cœur»

Alain Poulin

M. Alain Poulin 

Artiste, photographe

 

TZARA

La démarche artistique et le style de Tzara relèvent de son expérience entre le réalisme du photojournalisme et l’idéalisme de la Photographie publicitaire, ainsi que de sa profonde curiosité sur la vision que les êtres ont du monde. à travers cette dualité de dureté et d’onirisme, elle cherche plus précisément à rallier l’émotion brute de la réalité d’un être, à l’esthétisme et à l’imaginaire de la créativité et du perfectionnement. Depuis plus de 10 ans, Tzara capte ce moment où l’inconscient prend le pas sur le contrôle de soi, où la vérité d’un être humain transcende le désir de paraître ou de correspondre à une image, tout en l’habillant d’un univers esthétique le mettant en valeur. 

Son amour pour les être vivants ainsi que la vie qui bouillonne en eux en contradiction avec une société qui les pousse à s’écarter de l’essentiel, et le désir de les y ramener, marquent la nature des œuvres de Tzara. Le travaille artistique de Tzara découle donc d’une forme de rébellion contre la vacuité émotionnelle et/ou spirituelle de notre temps, d’un rapport subjectif lié à la notion d’identité, dans la quête de réussite, de performance et d’absolue originalité à tous prix. En ce sens elle choisi métaphoriquement un être pur, d’une extrême sensibilité intuitive pour exprimer un désir de véracité. les chevaux, symboles de liberté, d’ouverture, de force et de noblesse qu’elle présente dans leur plus simples expressions : énergie brute, puissante, sans fioritures, et épurés, sont ramenés à l’origine du tout, de la création, du temps, du monde. Tzara désire ainsi provoquer, aux travers de leurs yeux qui reflètent un monde libre d’interprétation, une introspective personnelle menant vers une communication avec l’inconscient, et soldée d’une découverte d’authenticité et de vérité intérieure, dénuée des influences sociales. 

 

DAVID MEREGHETTI

Avant que je sois rentré dans la photo, j’ai toujours été curieux, mais je me sentais trop pragmatique pour être comme certains le sont… artiste de naissance, bravo à ces gens-là! C’est la couleur du paysage, quand je suis arrivé au Québec, qui m’a fait rentrer dans la photo. Ma curiosité qui m’a ouvert un peu plus à l’artistique. Par la suite, j’ai commencé le portrait à partir de 2016. Les différentes rencontres que j’ai faites m’ont aidées a avancer et apprendre. J’ai découvert aussi le noir et blanc et l’infrarouge.

Le noir et blanc, c’est mon préféré, surtout en portrait, c’est plus historique, plus humain, plus humble… je pense que, pour moi, c’est le monde que j’aime le plus. 

Pour l’infrarouge, je trouve ça vraiment extraordinaire! Ce domaine qui a été beaucoup oublié. J’incite les gens à découvrir ou à redécouvrir l’infrarouge!

Pour moi, en résumé, le noir et blanc, c’est rentrer dans le temps, l’infrarouge c’est rentrer dans le monde irréel!

Il existe aussi, le noir et blanc infrarouge, c’est très différent. Sur ce point, je suis encore en découverte, mais c’est très particulier. Avec les années, sûrement je pourrais en connaitre plus et savoir comment m’en servir complètement.

Bien sûr je continue tout de même de la couleur, j’aime toujours autant !

J’aimerais apprendre aussi la macro, peut-être l’ultraviolet, et d’autres mondes qui sortent de l’ordinaire. Ce que j’aime aussi, dans la photo, c’est qu’on n’arrête pas de découvrir !

Pour finir, je trouve que la photo aide aussi à vivre le moment présent, d’autres moments de rêver et être hors du monde réel. C est une des choses que j’aime dans la photo.

 Je vais sûrement me lancer dans la photo mariage, mais à côté continuer de me rapprocher de l’art, même si j’ai encore beaucoup à apprendre.

Merci à tous, et bonne lecture. 

 

THIERRY PRIEUR

Enseignant de profession, la photo occupe une place grandissante dans mon parcours.  Passionné d’arts et de culture, j’ai publié le livre Il faut cultiver notre jardin d’enfants où je présente comment intégrer l’étude d’œuvres culturelles à l’éducation d’enfants de 5 ans. En photo, j’ai suivi des ateliers au Collège Marsan. Récemment, l’une de mes photos a gagné « Photo de l’année » à un concours en Afrique.  Elle est publiée dans le livre The Last Elephants de Don Pinnock. La photo animalière, le portrait et la surimpression sont les thèmes que je privilégie dans ma démarche.

 

MARIE-HÉLÈNE GRAVEL

Vétérinaire de formation, j’ai bifurqué vers la photographie il y a 8 ans pour permettre à ma créativité de s’exprimer.

Si les souvenirs de l’enfance sont ma thématique principale, les bêtes à poils et à plumes ne sont jamais bien loin.

Mes photographies sont colorées et j’aime créer des scènes féeriques reflétant un passé pas si lointain. J’aime travailler avec la nature et la lumière naturelle est toujours un acteur principal dans mes œuvres.

 

RICHARD LABELLE

Un espace sans limite se déploie constamment devant nos yeux dorénavant immunisés à toutes beautés. Le quotidien blafard s’installe entre notre perception familière et notre sens de l’appréciation. Par cette passion qui m’anime, je me permets de dévoiler ces aspects refoulés pour en faire resurgir les sentiments des premiers moments, des premières découvertes ! Des premières pâles impressions du petit matin jusqu’aux toutes dernières lueurs fugaces des fins de journées se trouve le cœur de mon travail créatif.

Du torrent d’images qui nous submerge, un simple reflet, une nuée poussiéreuse, un mur avachi ou une trace d’une époque révolue, peut resurgir à travers l’œil aguerri de ma lentille. Du bleu-aurore au rouge-crépuscule en passant par un noir-dramatique, temps et lieux se confondent pour faire éclore sur le capteur, ma vision bien personnelle du monde.

Ma démarche est de faire « ressentir » avec le plus d’acuité possible, un sentiment suggéré soit par un lieu, une masse, une composition ou une lumière. L’œuvre devient alors une suggestion de direction, un catalyseur vers la perception originelle du moment « clique » de la scène imprimé sur mon capteur. Je tente au moyen de la photographie, de peindre un infinitésimal moment dramatique tout en tentant d’en faire resurgir un sentiment plus ou moins indélibile !

30 ans de passion, de regard et d’exaltation envers un médium que j’admire et affectionne. Pour quelques minutes d’images révélées, 3 décennies d’apprentissage à mieux voir, mieux découvrir pour ainsi mieux révéler.

 

DAVID NOÉ

Je ne suis qu’un témoin du monde qui nous entoure, mais j’essaie de l’être avec le plus d’honnêteté possible.

 

 

 

 

 

BERTRAND MOREAU

La photographie fait partie de ma vie depuis mon très jeune âge. Au Collège, je me suis passionné rapidement à la photographie argentique. C’est vers cette époque que j’ai développé un intérêt pour le travail en chambre noire et créé un club photos avec des amis. Parallèlement à ma carrière en finance, dans mes temps libres je faisais des photos de mariage, de ma famille et d’amis ainsi que du développement en noir et blanc comme loisir. Depuis une dizaine d’années, j’ai adhéré au numérique mais sans délaisser tout à fait le plaisir de travailler en argentique. Depuis plus d’un an, je suis pédagogue pour le MNPD et responsable de la chambre noire. Déjà plus de mille jeunes provenant de différentes écoles environnantes ont visité le lieu et appris quelques rudiments en photographie argentique.

J’aime la diversité et je ne me consacre pas qu’à un seul thème en photographie comme le démontre les quelques photos ci-dessous. Que ce soit en argentique ou en numérique le noir et blanc aura toujours ma préférence pour mieux exprimer ce que je vois dans mes sujets.

Finalement, en 2016 je suis devenu membre du Club Photo Drummond et depuis 2017 je suis un membre actif du conseil d’administration, responsable des expositions externes et de quelques projets spéciaux du club.

 

ANDRÉ GARANT

Depuis ma tendre enfance, j’ai un faible pour la photographie. Sous la bonne
influence d’un ami photographe, j’ai acquis ma première caméra argentique en
1978.
 
Dès la première année, j’ai eu la chance de travailler et de voyager dans plusieurs
pays tels que l’Égypte, Israël, Grèce et une partie de l’Europe, rapportant plus de
2000 diapositives à mon actif.
Aujourd’hui, muni d’un équipement numérique et avec plus d’ardeur, je reprends
ma passion pour la photo.  Mon habileté et mes connaissances informatiques me
sont des atouts précieux.

 

JACQUES-ANDRÉ DUPONT

National Geographic, Canadian Geographic, Africa Geographic, Paris Match, Wildlife Photographic, la Pravda, China News et nombres d’autres médias à travers le monde ont publiés les photos de Jacques-André Dupont, photographe Animalier-Nature.  Il a été exposé dans plusieurs villes dont Montréal, Moscou, Beijing, Tokyo et Londres. Récipiendaire de nombreux prix un peu partout au Canada et à l’international, ce photographe animalier de Bolton Ouest, au Québec, ne souhaite qu’une chose: faire rayonner la beauté de la nature qui nous entoure.

 

IAN GAGNÉ

Lorsque j’étais enfant, ma boite à crayon était mon meilleur ami. Une fois adulte, c’est vers une formation en marketing à l’université de Sherbrooke que je me suis tourné afin de marier mon amour de l’image et de la communication. J’ai travaillé dans la vente, la représentation et les services financiers.

Aujourd’hui, j’ai troqué les crayons et la calculatrice pour un boîtier. Je capture la lumière puis la travaille avec soin pour offrir à mes clients des clichés d’une grande richesse. J’aborde toujours les sujets à photographier sous deux angles, l’une artistique et le second plus réaliste.

Depuis 2018 j’enseigne la photographie au Musée National de la Photographie à Drummondville. Je suis également impliqué au Club de Photo Drummond où j’agis à titre de conférencier, parrain, créateur de capsules web et en tant que trésorier sur le conseil d’administration.

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été passionné par l’astronomie et ce, bien avant d’avoir le béguin pour la photo. À regarder l’immensité de l’univers, j’en suis venu à le voir différemment. Dans l’espace tout est colossal: les distances entre les astres, leur taille et même la vitesse à laquelle ils se déplacent.

J’ai compris le sens du mot infini.

Ce qui a le plus changé en moi c’est ma façon de voir et de comprendre la lumière. La lumière est la matière première en astronomie. Elle l’est aussi en photographie. À travers ma lentille, je vois au-delà du sujet. Je perçois, ce qu’il y a de plus grand, conscient de l’angle de vue, du cadrage et surtout de cette précieuse lumière, sans qui la photographie n’existerait pas. Et lorsque je me soucie de chaque détail, c’est l’infiniment petit que je côtoie. La boucle est bouclée.

 

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